De ce cône volcanique jaillit l’enfer. Jour et nuit. Le diable y souffle des gaz acides sur tous ces hommes de souffrance. Ces chasseurs de soufre qui croulent sous le poids des pierres mais ne s’écroulent jamais. Dantesque la vie le long de ce volcan, au fond de ce cratère d’où ils remontent leurs lourdes peines encore et encore.
Pour quelques pièces même pas en or et survivre à leur destin un jour, une semaine, un mois de plus. Pour une existence de misère sans fenêtre sur l’avenir. Florence a croisé leur chemin de croix et continue dans sa tête à marcher avec eux. Ca y est, nous lui avons déjà emboité le pas.
